Les start-ups en France, un marché en plein essor.
Plan de l'article
La France dans le top 3 des start-ups en Europe
Les start-ups, ou comme elles sont communément appellées les « jeunes pousses », ces jeunes entreprises innovantes et à fort potentiel de croissance sont devenues aujourd’hui le centre d’attention des investisseurs en tout genre.
Il faut savoir qu’aujourd’hui la France détrône de nombreuses grandes puissances européennes en ce qui concerne la croissance de ses start-ups, Paris est la deuxième ville européenne après Londres en terme de quantité de start-uppers.
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Comment se finance une start-up ?
Le financement d’une start-up n’a rien d’une simple étape parmi d’autres ; lorsque l’on crée une start-up la question du financement est la première qui nous vient à l’esprit et pour cause, les modes de financement pour ce type d’entreprises sont multiples :
L’autofinancement
C’est le moyen « classique » qui n’est pourtant pas à la portée de toutes les bourses. Il est possible également au moment de quitter un poste de se lancer dans la création d’entreprise et de disposer d’un délais de 18 mois d’indemnités chômage de la part de Pôle emploi.
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Les subventions publiques
L’État accorde une grande importance aux projets innovants et y apporte son soutien selon les régions. Le financement de votre création d’entreprise peut passer par différents organismes publics.
Il existe des subventions régionales des chambres de commerce et d’industrie octroyées aux jeunes pousses innovantes, des sommes pour aller jusqu’à 250 000 euros sur trois ans.
Le prêt bancaire
Il existe aujourd’hui plusieurs possibilités de prêts bancaires, des prêts pouvant être octroyés sans caution ni garantie comme le prêt à taux zéro, ce type de prêt est généralement remboursable sur quatre ou cinq ans pour un emprunt pouvant aller jusqu’à 60 000 euros. Il existe également un autre type de prêt que l’on appelle le prêt participatif, il permet aux entrepreneurs, sans toucher au capital ni à la trésorerie de la structure de la start-up d’emprunter en quasi-fonds propres sur du long terme.
De quel accompagnement peuvent-elles bénéficier ?
Lorsqu’un jeune entrepreneur décide de créer une start-up il est généralement concentré essentiellement sur son coeur de métier, il est rare de rencontrer un start-upper ou un entrepreneur de manière générale connaissant tous les aspects juridiques, fiscaux et sociaux qu’englobe une entreprise destinée à prendre de l’envergure et possédant un fort potentiel de croissance.
S’entourer de personnes compétentes telles que les cabinets d’avocats ou conseillers financiers devient alors une nécessité. Il vous sera possible d’avoir un accompagnement lors de la constitution de société à savoir votre brainstorming, la rédaction des statuts ainsi que la réalisation des différentes formalités légales lors d’une levée de fonds par exemple. Un accompagnement est également possible sur vos opérations de gestion quotidiennes mensuelles ou annuelles :
En droit des sociétés, une approbation des comptes annuels ainsi qu’une tenue et mise à jour périodique des registres ou comptes d’actionnaires.
En fiscalité, une revue fiscale annuelle concernant les impôts sur les sociétés, développement international et structuration de la société.
C’est pourquoi il est recommandé et conseillé de s’entourer lors de la création de votre start-up de personnes compétentes et spécialisées dans ces domaines.