L’Everest, le trek le plus célèbre du Népal
Avec une altitude de 8848 mètres, le mont Everest est le sommet le plus haut du monde. Cette caractéristique lui a valu d’attirer de nombreux curieux, touristes et aussi depuis plusieurs dizaines d’années, de très nombreux alpinistes qui rêvent de s’essayer à l’ascension de cette montagne incomparable. L’Everest fait partie de la chaîne de l’Himalaya et se trouve sur la frontière en le Tibet et le Népal, en Asie. En tibétain, son nom signifie littéralement « mère de l’univers » et quand on s’en approche on se rend compte que cette montagne tient vraiment bien son nom. Si des alpinistes s’essaient depuis les années 20 à l’ascension de ce roc, c’est Edmund Hillary et Tensing Norway Sherpa qui ont réussi la première ascension du versant népalais en 1953 et l’arrête nord-est a été gravie pour la première fois en 1960. Si aujourd’hui le Népal pense à rendre obligatoire la présence d’un guide en montagne, de nombreuses personnes ont péri de leur vie lors de cette ascension.
A découvrir également : Comment boire du rhum arrangé ?
Le trekking le plus élevé du monde
A lire également : Déguisement pour le carnaval : les meilleures idées du moment
Le trekking qui mène au camp de l’Everest fait partie des plus élevés du monde avec ses 4500 mètres d’altitude. Ici, nous parlons bien du camp de base de l’Everest et non de l’ascension de la montagne, qui est d’un autre ressort. Ce trek nécessite huit jours de marche intensive à une altitude hors norme, dépassant parfois les 5000 mètres.
Ce trekking nécessite une bonne forme physique mais est loin d’être inaccessible. Chaque année, plus de 30 000 personnes effectuent un trek dans cette région du monde. La durée du trek varie selon les agences organisatrices et les guides. Toutefois, on compte environ huit jours pour atteindre le camp de base. Le trek s’effectue de mars à mai où il commence à faire chaud, juste avant la mousson, et de septembre à décembre, période où les températures peuvent descendre en dessous de zéro mais où évidemment, il y a beaucoup moins de randonneurs. C’est alors comme si la montagne nous appartenait.
Un séjour riche en émotions
Les journées sont rythmées par de longues marches à pied dans un paysage au décor époustouflant. Pendant le trek, on peut aussi visiter la culture sherpa en visitant des monastères et des musées.
Après un tel trek, on est forcément marqué par la beauté du lieu mais on est aussi profondément transformé. On revient chez soi avec un réel sentiment de réussite personnelle et de dépassement de soi.